lundi 20 octobre 2008

Un an ou onze ans après ...

François ROUX

Catherine Jobin-Roux

15 bld Vincent Auriol

75013 PARIS

Domicile : 01.53.79.09.47

Francois.Roux.75@free.fr

Catherine.Jobin@hotmail.fr

Paris, le 20 octobre 2008

LR/AR

Contrat N° IM 1105153 ACM IARD SA

63 Chemin Antoine Pardon 69 814 TASSIN Cedex

Objet / dégâts des eaux – suite -

P.J /

Nous avons l’honneur d’appeler votre attention sur la poursuite du dégât des eaux référencé sous le n°201.080.315.532T pour lequel vous aviez mandaté un expert le 3 mars 2008 et pour lequel vous aviez versé une indemnité de 577,57€.

Les locataires qui occupent l’appartement 63, situé au-dessus de celui que nous occupons, n’ont toujours pas réalisé les travaux de réparation qui leur incombaient. L’eau continue de couler du plafond jusqu’à l’évier en détériorant un peu plus chaque jour, le plafond et le mur.

LA RIVP, propriétaire des appartements, a mandaté à plusieurs reprises des inspecteurs qui sont venus constater les dégâts à notre domicile ainsi que chez nos voisins. La dalle béton est de plus en plus humide, les gravats tombent parfois sur l’évier (ci-joint un échantillon), l’eau coule en s’écrasant sur l’évier. Nous protégeons pour éviter tout débordement comme cela s’est déjà produit.

Nous n’avons pas entrepris les travaux de réparations puisque la fuite d’eau perdure. Depuis bientôt un an, ces désagréments deviennent intolérables sans parler des aspects d’hygiène.

Nous vous sollicitons donc, conformément à notre garantie souscrite « recours des voisins et des tiers » pour nous aider à trouver une solution définitive à cette situation, puisque nous constatons aucune exécution de travaux de réparations chez mes voisins et que nous recevons aucune information précise des services de la RIVP quant à la résolution de ce litige.

Une année de dégât des eaux, une année sans résolution réelle et concrète du problème, une année que nous vivons avec des serviettes et éponges pour éviter le bruit de l’eau s’écrasant sur notre évier, éviter qu’elle ne s’infiltre davantage et insidieusement chez nous et ne provoque d’autres dégâts. Nous estimons, à ce jour, que le préjudice subi demande réparation, voire dommage et intérêt. Nous avons interrompu les travaux de rénovation de la cuisine depuis août 2007.

Nous vous signalons également, par ce même courrier, que le plafond de la douche de notre appartement commence à présenter des signes de « craquellements » sérieux.

Il est vrai que les mêmes voisins , impunément, nous importunent inconsidérément depuis plus de 10 années par leurs tapages divers.

Vous remerciant, dès à présent, de l’attention que vous porterez à notre dossier, nous vous prions de croire à l’assurance de notre parfaite considération.

Catherine JOBIN François ROUX