dimanche 23 mars 2008

Dimanche 23 mars 2008 22h 03



Sons de pas , presque sautés au plafond.

Retours à l'hôtel 63 ?

Dimanche 23 mars 11 h 30



Bien entendu , les courses , les chutes , l'agitation du quotidien a repris depuis quelque temps au 63.

Il faut nous le dire si le 15 boulevard Vincent Auriol est une résidence hôtelière.

Il est possible que les conditions de location aient changé depuis la signature du bail.

Nuit du samedi au dimanche 22-23 mars 2008


De 22 heures à 05 heures du matin


Le son , genre conciliabules bruyants, est survenu vers 22 heures.
Cela n'a pas cessé .
Vers minuit nous nous sommes couchés.

A deux heures , brusque éveil de toute la famille
Rien n'avait cessé , au contraire .

Tout allait bon train dans l'appartement 43

J'ai hésité .
J'ai sonné
un jeune homme a répondu.
Je n'ai pas eu besoin de parler , pas la force à cette heure de couvrir les voix .

Il était 02 h 45 minutes.

J'ai cru que cela allait prendre fin.

Nenni.

Je suis redescendu vers 03h 20.

L'heureux locataire m'a ouvert la porte .
Il a eu ce mot plaisant :
" écoutez".

Je n'ai pu lui répondre que " trop tard" .

Il y a plusieurs heures que nous les écoutions.

C'est un casus belli .

Il n'y a aucune justification à un tel tapage , que ce soit le jour ou la nuit .

Qu'on respecte les règles , la loi.

Que l'on fasse payer ces gens là.

Que l'on puisse se payer l'hôtel en face pour DORMIR !

Il s'agit d'une violence terrible


Nous n'en pouvons plus .

Le 43 rejoint l'hôtel 63.


C'est beau la convivialité mais pas sur le dos des voisins .

Les derniers mouvements d'ascenseurs ont été entendus vers 05 heures.


En quoi faut il un intermédiaire pour comprendre cela?


Des fêtes religieuses autorisent elles à semer ce trouble ?
Et je croyais mon voisin du 43 sportif ?

Pourquoi nous NÉANTISER de la sorte ?

Nous avons le droit à une vie paisible , y compris au moment du dimanche pascal