samedi 26 juillet 2008

Samedi 26 juillet un peu avant minuit .



Vous pouviez constater , au son, de nombreux mouvements d'ascenseurs entre le sixième et le quatrième étage, entre le sixième et le rez de chaussée.

Je ne sais pas ce que les voisins du quatrième ( appartement 41) , ceux qui hébergent le chien si souvent , ont bien pu recueillir chez eux.

Mais en descendant au local poubelles , j'ai pu remarquer le dépôt très sauvage de vieux matériel de peinture , d'un sapin de noël en plastique , des cartons vides et sales , Des morceaux de bois dépareillés. L'inventaire n'est pas complet .
Mais le tout était jeté en vrac par terre.
Il a bien fallu y mettre bon ordre.
Nous n'avons pas vocation à vivre dans un local poubelle aussi sordide.

J'ai croisé la jeune fille aînée de l'hôtel 63 dans l'ascenseur . Elle se pomponnait pour sa sortie du soir .

Il est vrai que l'hôtel 63 est bien calme à l'approche de minuit .


Et que nous serons éveillés vers 03 heures ou 04 heures du matin.
Car il faut bien revenir !

STOP !

Samedi 26 juillet 2008 à partir de 19 heures



Formidable : nous entrons dans l'ère de la ponctuation.
La vie pourrait être tranquille , mais notre plafond est agité de soubresauts ponctuels , inattendus , assez violents, très secs .
Ce qui dure encore à plus de 22h 30.


C'est au - delà du supportable .

Samedi 26 juillet Point de l'après midi Il est 18 heures

  • Présence affirmée à l'hôtel 63
  • Musique sournoise , en sourdine , musique tout de même
  • Chutes nombreuses au sol , souvent métalliques
  • Déplacements bruyants
On n'arrête pas à l'hôtel 63.

Samedi 26 juillet 2008



Ce sera celui de la discrétion.

Bien entendu, à partir de 10 heures ce matin, quelques chutes, quelques pas , quelques déplacements '( de meubles?) , quelques traînements.

Toujours surprenants, mais assez discrets et suffisants pour nous signifier qu'il y a du monde à l'hôtel 63.


Inquiétude , tout de même : où est passé le chien que nous n'entendons plus ?