dimanche 6 juillet 2008

Dimanche 06 juillet 22 heures 15 minutes



A l'hôtel 63 , on n'a rien compris .

A ce moment , 22 heures 15 minutes , on tape violemment ensemble au plafond.
Bruits de danses évidemment , accompagnés de musique .

C'est l'aboutissement d'une fin de semaine ordinaire.

C'est insupportable .

Nous tapons au plafond.

On nous répond ! !! !!

A l'hôtel 63 , on doit croire que nous ne sommes pas présents.

Invraisemblable .

A l'hôtel 63 , on n'a rien compris ;

Il faut arrêter .

Stop.

Car cette fin de semaine ce fut :

  • les couchers et levers ordinaires à 05 heures 30 du matin jusque vers 06 heures , bruits éléphantesques au dessus des chambres en particulier, déplacements de meubles
  • et à plus de minuit , jusqu'à une heure du matin , bruits diffus , certes , mais toujours pour une trentaine de minutes
  • passons sur les bruits de portes que l'on claque sans mesure
  • le vendredi soir les milles pattes au plafond à plus de une heure du matin ...
  • les secousses diverses à des heures tardives ...
  • et les journées sans aucune sérénité.
Cela suffit vraiment .